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Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 26 maggio 2025
We live in a hyperconnected world, yet we’ve never felt so alone. Social media promises connection, but often breeds dissatisfaction. How can we turn this tool into an ally of joy? We wake up and, before even saying “good morning,” we reach for our screens. We scroll through polished images, perfect smiles, dreamy travels, sculpted bodies, celebrated successes. We scroll, compare… and often suffer. Social networks, created to connect us, expose us daily to a showcase of other people’s happiness —which we know is filtered and curated—yet still makes us feel out of place. As if our own life, in all its simplicity and imperfection, somehow mattered less. The problem isn’t what others share. The problem begins within us, in how we relate to what we see . It starts with a quiet, often unconscious comparison that whispers corrosive thoughts: “They’re happy… I’m not.” This is how a new form of modern melancholy is born: scroll-induced sadness , invisible but pervasive. The Unspoken Envy This isn’t the loud, traditional kind of envy. It’s something more subtle: a lucid sadness , often accompanied by guilt (“I shouldn’t feel this way. I know it’s just appearances”), but still powerful. When we see someone fulfilling a dream, a quiet voice asks: “Why not me?” There’s no shame in that. It’s human. Comparison is part of our psychological makeup. But when it’s fed daily, for hours, with digitally perfected content, it can become toxic. Unacknowledged and unwelcomed, these emotions pull us away from ourselves and from real joy —the kind that grows from presence, authenticity, and gratitude for who we are, not just what we show. The Loop That Drains Us Many people fall into a vicious cycle without realizing it: they feel inadequate after seeing certain posts, so they share something too—to feel “seen,” “liked,” “validated.” But once the effect of the likes fades, the emptiness returns. The need for approval can never be satisfied if it stems from the fear of not being enough. Social media then becomes a tragic theatre : everyone on their own stage, everyone both actor and spectator in each other’s lives—and all lonelier than ever. Are Social Media the Enemy? No. Social media is just an amplified mirror. The problem isn’t the platform—it’s how we use it . Every tool can be poison or medicine. It depends on how we handle it. Social media can be a powerful force for awareness, kindness, and authenticity . It can bring joy, if we choose not to impress but to express . Questions to Ask Ourselves 👉 Am I posting to share… or to fill a void? 👉 Does this content truly reflect me… or is it just a mask? 👉 How do I feel when I look at this photo? Love, inspiration… or inferiority? Before posting, ask: Am I feeding my ego or my heart? Before scrolling, ask: Am I looking to compare… or to connect? The Sempreunagioia Way To use social media the Sempreunagioia way is to choose authenticity over perfection , presence over filters , genuine sharing over performance . It means having the courage to show your bad days, your doubts, your fragile thoughts. Because true human connection is born in vulnerability. It means sharing a sunset that moved you—not because it’s “Instagram-worthy,” but because it reminded you that you are alive. It means writing a thought straight from your heart, even if it’s not polished—because it’s real. And above all, it means learning to look at others’ lives without losing sight of your own . Because every time you compare, you risk forgetting that your joy doesn’t need to look like anyone else’s .  Social media has opened a window to the world—but sometimes, it’s clouded our view of ourselves. Joy doesn’t need filters , can’t be measured in likes , and doesn’t grow with followers . Joy lives in feeling whole, present, connected to yourself. And yes, you can find it on Instagram—if you know where to look: not in perfect lives, but in honest moments , welcoming words , and inspiring gestures . Remember: 📌 Joy is not a goal to display, but a way of living—even in the digital world. 📌 And with every scroll, you can choose: to be drained… or to be nourished.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 26 maggio 2025
Nous vivons dans un monde hyperconnecté, et pourtant nous ne nous sommes jamais sentis aussi seuls. Les réseaux sociaux promettent du lien, mais sèment souvent l’insatisfaction. Comment faire de cet outil un allié de la joie ? On se réveille, et avant même de dire “bonjour”, on caresse l’écran. Des images lissées, des sourires parfaits, des voyages de rêve, des corps sculptés, des succès affichés. On fait défiler, on compare… et bien souvent, on souffre. Les réseaux sociaux, conçus pour nous relier, nous exposent chaque jour à une vitrine du bonheur des autres — que l’on sait pourtant filtrée et construite — mais qui nous donne l’impression de ne pas être à notre place. Comme si notre vie, dans sa simplicité et son imperfection, avait moins de valeur. Le problème ne vient pas de ce que les autres partagent. Il vient de notre manière de regarder . Cela commence par une comparaison silencieuse, souvent inconsciente, qui insinue des pensées corrosives : « Eux, ils sont heureux… pas moi. » C’est ainsi qu’émerge une forme de mélancolie moderne : une tristesse silencieuse liée au scroll , invisible mais profonde.  Une jalousie qui ne crie pas Ce n’est pas l’envie classique, bruyante et visible. C’est quelque chose de plus subtil : une tristesse lucide , souvent accompagnée d’un sentiment de culpabilité (« Je ne devrais pas me sentir comme ça, je sais que ce n’est qu’une image »), mais qui agit quand même. On voit quelqu’un réaliser un rêve, et la question surgit : « Pourquoi pas moi ? » Aucune honte à avoir. C’est humain. La comparaison fait partie de notre fonctionnement psychique. Mais lorsque cette comparaison est nourrie quotidiennement, pendant des heures, face à des images de perfection artificielle, elle devient toxique. Et cette émotion non reconnue, non accueillie, nous éloigne de nous-mêmes et de la véritable joie : celle qui naît de la présence, de l’authenticité, de la gratitude pour ce que l’on est — et non pour ce que l’on montre. Le cercle qui nous vide Beaucoup entrent inconsciemment dans un cercle vicieux : après avoir vu certains contenus, ils se sentent insuffisants. Alors, ils publient à leur tour pour se sentir “vus”, “appréciés”, “validés”. Mais une fois que l’effet du like s’estompe, le vide revient. Le besoin de reconnaissance ne sera jamais comblé s’il naît de la peur de ne pas être assez. Les réseaux deviennent alors un théâtre tragique : chacun sur sa scène, chacun spectateur et acteur de la vie des autres… et tous plus seuls que jamais. Les réseaux sont-ils l’ennemi ? Non. Les réseaux ne sont qu’un miroir amplifié. Le problème ne vient pas de l’outil, mais de la manière dont on l’utilise . Tout outil peut être poison ou remède. Tout dépend de l’usage que nous en faisons. Les réseaux peuvent devenir des instruments puissants de conscience, de tendresse, d’authenticité . Ils peuvent vraiment porter la joie, si l’on choisit de les utiliser non pour impressionner, mais pour exprimer . Quelques questions à se poser 👉 Est-ce que je publie pour partager… ou pour combler un vide ? 👉 Ce contenu me reflète-t-il vraiment… ou est-ce un masque ? 👉 Qu’est-ce que je ressens en voyant cette photo ? Amour, inspiration… ou sentiment d’infériorité ? À chaque publication, demandons-nous : Est-ce que je nourris mon ego… ou mon cœur ? À chaque scroll, demandons-nous : Suis-je en train de me comparer… ou de me connecter ? La proposition Sempreunagioia Utiliser les réseaux à la manière de Sempreunagioia, c’est choisir l’authenticité plutôt que la perfection , la présence plutôt que le filtre , la vraie connexion plutôt que la performance . C’est avoir le courage de montrer aussi les journées grises, les doutes, les pensées fragiles. Car c’est là que naît la vraie proximité humaine. C’est publier un coucher de soleil qui t’a ému, non parce qu’il est “instagrammable”, mais parce qu’il t’a rappelé que tu étais vivant. C’est écrire une pensée venue du cœur, même si elle n’est pas brillante — mais parce qu’elle est vraie. Et surtout, c’est apprendre à regarder la vie des autres sans perdre la tienne . Car à force de se comparer, on oublie que ta joie n’a pas besoin de ressembler à celle des autres . Les réseaux nous ont ouvert une fenêtre sur le monde, mais ils ont parfois brouillé notre regard sur nous-mêmes. La joie n’a pas besoin de filtre , ne se mesure pas en likes , ne s’accumule pas en followers . La joie se trouve dans le fait de se sentir entier, présent, connecté à soi-même. Et oui, même sur Instagram, on peut la trouver — si l’on sait où regarder : pas dans les vies parfaites, mais dans les instants sincères , les mots qui accueillent , les gestes qui inspirent . Souviens-toi : 📌 La joie n’est pas un objectif à afficher, mais une façon de vivre — même dans le monde numérique. 📌 Et à chaque scroll, tu peux choisir : t’épuiser… ou te nourrir.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 26 maggio 2025
Vivimos en un mundo hiperconectado, y sin embargo nunca nos hemos sentido tan solos. Las redes sociales prometen conexión, pero a menudo siembran insatisfacción. ¿Cómo transformar esta herramienta en una aliada de la alegría? Nos despertamos y, antes incluso de decir “buenos días”, ya acariciamos la pantalla. Vemos imágenes pulidas, sonrisas perfectas, viajes espectaculares, cuerpos esculpidos, éxitos mostrados. Hacemos scroll, nos comparamos… y muchas veces, sufrimos. Las redes sociales, nacidas para conectarnos, nos exponen diariamente a un escaparate de la felicidad ajena , que – aunque sabemos que está filtrado y construido – nos hace sentir fuera de lugar. Como si nuestra vida, con su sencillez e imperfección, valiera menos. El problema no está en lo que los demás comparten. El problema nace dentro de nosotros, en cómo nos relacionamos con lo que vemos . Comienza con una comparación silenciosa, a menudo inconsciente, que susurra pensamientos corrosivos: “Ellos sí son felices… yo no.” Así nace una nueva forma de tristeza contemporánea: una tristeza de scroll , invisible pero invasiva. La envidia que no grita No es la envidia tradicional, ruidosa y explícita. Es algo más sutil: una tristeza lúcida , a menudo acompañada de culpa (“No debería sentirme así, sé que es solo apariencia”), pero que actúa igualmente. Vemos a alguien cumplir un sueño y surge la pregunta: “¿Por qué yo no?” No hay juicio aquí. Es humano. La comparación forma parte de nuestra psicología. Pero cuando se alimenta día tras día, durante horas, frente a una pantalla repleta de perfección artificial, puede volverse tóxica. Esa emoción no reconocida ni acogida nos aleja de nosotros mismos y de la alegría auténtica , la que nace de la presencia, la gratitud y la autenticidad. El ciclo que vacía Muchos, sin darse cuenta, caen en un círculo vicioso: se sienten inadecuados tras ver ciertos contenidos, así que publican algo ellos también para sentirse “vistos”, “admirados”, “validados”. Pero en cuanto pasa el efecto del “like”, la herida vuelve a doler. El deseo de aprobación no se sacia nunca , si nace del miedo a no valer. Las redes se convierten así en un teatro trágico : cada uno en su escenario, cada uno espectador y actor de la vida de otros… y todos, más solos que nunca. Entonces, ¿las redes sociales son el enemigo? No. Las redes sociales son solo un espejo amplificado. El problema no es el medio, sino el uso que hacemos de él . La verdad es que cualquier herramienta puede ser veneno o medicina. Depende de cómo la utilicemos. Las redes pueden ser usadas con conciencia, ternura, autenticidad . Pueden realmente generar alegría si decidimos utilizarlas no para impresionar, sino para expresarnos . Preguntas para guiarnos 👉 ¿Estoy publicando para compartir… o para llenar un vacío? 👉 ¿Este contenido me representa de verdad… o es una máscara? 👉 ¿Qué siento al ver esta foto? ¿Amor, inspiración… o inferioridad? Cada vez que publicamos algo, preguntemos: ¿Estoy alimentando mi ego o mi corazón? Cada vez que miramos algo, preguntémonos: ¿Busco comparación o conexión  La propuesta de Sempreunagioia Usar las redes con el espíritu Sempreunagioia significa elegir la autenticidad en lugar de la perfección , la presencia en lugar del filtro , la expresión verdadera en lugar de la actuación . Significa tener el valor de mostrar también los días grises, las dudas, los pensamientos frágiles. Porque la verdadera cercanía nace de la vulnerabilidad . Significa compartir una puesta de sol que te emocionó, no porque sea "instagrameable", sino porque te recordó que estás vivo. Significa escribir una frase que nace del corazón, aunque no sea brillante… pero sí verdadera. Y, sobre todo, significa aprender a mirar la vida de los demás sin perderte la tuya . Porque cada vez que te comparas, corres el riesgo de olvidar que tu alegría no tiene que parecerse a ninguna otra. Las redes nos han dado una ventana al mundo, pero a veces nos han quitado la mirada hacia nosotros mismos. La alegría no necesita filtros , no se mide en corazones rojos , no se acumula con seguidores . La alegría se encuentra en sentirse entero, presente, conectado con uno mismo. Y sí, también se puede encontrar en Instagram, si sabes dónde mirar: no en las vidas perfectas, sino en los momentos sinceros , en las palabras que abrazan , en los gestos que inspiran . Recuérdalo: 📌 La alegría no es una meta que mostrar, sino una forma de vivir, incluso en el mundo digital. 📌 Y en cada scroll, puedes elegir: ¿te vacías… o te llenas?
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 26 maggio 2025
前書き 私たちはこれまでになくつながっている世界に生きています。しかし、これほど孤独を感じる時代もありません。ソーシャルメディアは“つながり”を約束しながら、しばしば不満と悲しみをもたらします。このツールを喜びの味方に変えるにはどうすればよいのでしょうか? 私たちは目覚めると、「おはよう」と言う前にスマートフォンに手を伸ばします。美しく加工された画像、完璧な笑顔、夢のような旅行、整った体、美しく飾られた成功の数々……。スクロールし、他人と比べ、そして――心が沈んでいきます。 ソーシャルメディアは人と人をつなぐために生まれましたが、現実には他人の「幸せのショーウィンドウ」を見せつけてきます。私たちはそのほとんどが演出であるとわかっていても、自分の平凡で不完全な日常が、価値のないものに思えてしまうのです。 問題は、他人が何を投稿しているかではなく、 私たち自身がそれをどう受け取るか にあります。無意識のうちに始まる静かな比較が、心の中に「彼らは幸せそう…私は違う」という毒の種をまきます。 こうして新しいタイプの現代的な悲しみ――目には見えないけれど、静かに浸透する「スクロール型の悲しみ」が生まれるのです。 📉 声にならない嫉妬 それは古典的な、激しい嫉妬ではありません。もっと繊細で鋭いもの。 「冷静な悲しみ」、そして「こんな風に感じてはいけない、これはただの見せかけだとわかっているのに…」という罪悪感を伴うものです。 誰かが夢を叶えた投稿を見て、心の奥でそっとこうつぶやく:「なぜ私は違うの?」 この感情は決して否定されるべきものではありません。人間として自然な反応です。比較は私たちの心理構造に組み込まれています。 しかし、毎日、何時間も、完璧に作り上げられた画像を見せつけられれば、それは 毒 にもなり得ます。 そして、こうした認識されず、受け止められない感情は、私たちを本当の喜び―― 今にあること、自分らしさ、感謝の気持ち から遠ざけてしまいます。 🔄 心を空っぽにするループ 多くの人が知らないうちに悪循環に陥ります。誰かの投稿を見て落ち込み、自己価値を回復したくなり、何かを投稿して「見られたい」「認められたい」と願う……。 しかし、「いいね」の効果が消えた瞬間、心の空洞は再び現れます。 自己価値への不安から生まれた承認欲求 は、満たされることがないのです。 こうして、ソーシャルメディアは 悲劇の舞台 となります。誰もが自分の舞台に立ち、同時に他人の観客となり、結果として、かつてないほど孤独になるのです。 🪞 では、ソーシャルメディアは敵なのか? いいえ。ソーシャルメディアはただの拡張された鏡にすぎません。問題はツールそのものではなく、 私たちの使い方 です。 すべてのツールは、毒にも薬にもなります。どう使うかで、その意味が変わるのです。 意識と愛、そして本当の自分でいる勇気 を持ってソーシャルを使えば、それは本当に喜びを生むものになります。 大切なのは、「印象づける」ためではなく、「表現する」ために使うことです。 💬 自分に問いかけてみよう 👉 投稿しようとしているのは、シェアしたいから?それとも何かを埋めようとしているから? 👉 その内容は本当に私を表している?それとも仮面? 👉 他人の投稿を見たとき、私が感じているのは愛やインスピレーション?それとも劣等感? 何かを投稿するたびに自分に問いましょう: 私が満たそうとしているのは、エゴ?それとも心? 何かを見るたびに自分に問いましょう: 私は比較してる?それともつながろうとしている? 🌈 Sempreunagioiaからの提案 Sempreunagioiaの生き方でソーシャルメディアを使うということは、 完璧よりも本物を、フィルターよりも存在を、演出よりも真の共有を選ぶこと です。 それは、うまくいかない日も、迷いや弱さを見せる勇気を持つこと。 それこそが、人と人の本当のつながりを育むのです。 感動した夕焼けを投稿する。それは“インスタ映え”するからではなく、「ああ、自分はまだ生きている」と感じたから。 輝いていなくても、心から湧いた言葉を書く。それが 本物だから 。 そして何よりも大切なのは、 他人の人生を見る中で、自分の人生を見失わないこと。 ✨ 終わりに ソーシャルメディアは、私たちに世界への窓を与えてくれましたが、時に自分自身を見る目を曇らせます。 喜びにフィルターは必要ありません。赤いハートの数では測れません。フォロワー数では得られません。 喜びとは、 自分に繋がり、今を生きている実感そのもの の中にあるのです。 そして、そう――Instagramにも、それはあります。 それは「完璧な人生」の中ではなく、 本音があふれる瞬間、誰かを受け入れる言葉、誰かを動かす小さな行動 の中にあるのです。 覚えていてください: 📌 喜びは見せびらかすゴールではなく、日々を生きる“あり方”です。 📌 すべてのスクロールの中で、あなたは選べます――枯れるか、それとも満たされるか。
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 26 maggio 2025
引言 我们生活在一个高度互联的世界里,然而从未如此孤独。社交媒体承诺带来联系,却常常播下不满足的种子。我们如何将这个工具转化为带来喜悦的力量? 我们醒来时,还没说“早安”,就已经伸手拿起手机。浏览着那些精修的照片、完美的笑容、令人惊叹的旅行、美丽的身材和展现的成功。我们一遍遍滑动页面,比较自己与他人,然后……开始感到痛苦。 社交媒体本应连接彼此,却将我们每日暴露在 他人幸福橱窗 前——即使我们知道这些画面是修饰过的、经过筛选的,我们依然会觉得自己不够好,仿佛自己平凡而不完美的人生,毫无价值。 问题不在于别人分享了什么,而在于 我们如何看待所看到的一切 。一种无声、潜意识的比较开始在心中滋生,暗暗地想:“他们多快乐……而我不是。” 这正是当代一种新型忧伤的起点——一种刷屏型的隐性悲伤,悄悄蔓延,却无比真实。 📉 无声的嫉妒 这不是那种尖锐直接的嫉妒,而是一种更细腻的情绪: 清醒的哀伤 ,夹杂着羞愧(“我不该这样感受,我知道这只是表面”),却依然在心里悄然生效。 当我们看到别人实现梦想,内心会冒出一个问题:“为什么不是我?” 这没有错,这是人类的本能。比较是心理机制的一部分。但当这种比较每天持续几个小时,面对的是一个个被精修的虚拟现实,就容易变得有毒。 这些没有被正视和接纳的情绪,会让我们远离真实的喜悦——那种源自 当下、真实、自我接纳与感恩 的喜悦。 🔄 掏空人的恶性循环 许多人不自觉地陷入一个循环:看了某些内容后感到自卑,于是也发一些“好内容”来证明自己也值得被关注、被喜欢、被认同。 但当点赞的“多巴胺”效应消退后,空虚又回来了。因为,如果确认感来自“怕自己不够好”,那是永远填不满的。 社交媒体于是变成了一个悲剧的剧场:每个人都站在自己的舞台上,每个人既是观众也是演员,最终却 比任何时候都更加孤单 。 🪞那么,社交媒体是敌人吗? 不是。社交媒体只是一个被放大的镜子。问题不在于工具本身,而在于 我们如何使用它 。 所有工具都可以是毒药,也可以是药方,关键在于你如何使用。 如果我们带着 觉知、爱和真实 来使用社交平台,它们真的可以成为 传播喜悦的工具 。关键是:不是为了炫耀,而是为了表达。 💬 引导自省的问题 👉 我发这条内容,是为了真正分享,还是在弥补内在的匮乏? 👉 这内容真的代表我,还是只是面具? 👉 当我看别人的照片时,我感受到的是爱、灵感……还是自卑? 每次发布内容前,不妨问问自己: 我是在喂养我的自我,还是我的内心? 每次浏览内容时,不妨想一想: 我是在寻找比较,还是寻找连结? 🌈 Sempreunagioia 的提议 用 Sempreunagioia 的方式使用社交媒体,就是选择 真实胜过完美,存在胜过滤镜,真诚胜过表演 。 这意味着我们要勇敢地展现那些不完美的日子、那些怀疑和脆弱的思绪——因为真正的亲密,是在脆弱中诞生的。 意味着发布一个让你感动的日落,不是因为它“适合发Instagram”,而是因为它提醒你:“我还活着。” 意味着写下一段发自内心的话,哪怕它不光鲜亮丽,但它是真实的。 最重要的是,学会 看见别人的生活,而不迷失自己的生活 。 因为,每一次比较,你都可能忘记:你的喜悦,并不需要和任何人一样。 ✨ 结语 社交媒体为我们打开了通往世界的窗户,却常常模糊了我们看向自己的眼睛。 喜悦不需要滤镜,不靠红心衡量,不靠粉丝堆积。 真正的喜悦,是在 完整、当下、与自己连结之中 绽放的。 而且——是的——哪怕在 Instagram 上,也能找到这种喜悦。只要你懂得该看向哪里: 不是在“完美人生”中,而是在 真诚的瞬间、温暖的话语、灵魂的触碰 中。 记住: 📌 喜悦不是一个用来展示的终点,而是一种每天的生活方式。 📌 每一次滑动,你都可以选择:是被耗尽……还是被滋养。
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 1 maggio 2025
Viviamo in un mondo che, giorno dopo giorno, ci spinge a migliorarci, a limare gli spigoli, a coprire ogni difetto. Ci viene insegnato che solo ciò che è perfetto è degno di essere mostrato, condiviso, amato. Fin da piccoli, impariamo a confrontarci con ideali irraggiungibili: corpi perfetti, carriera impeccabile, relazioni senza macchia. E così, passo dopo passo, rischiamo di trasformarci in statue fredde e levigate, lontane dalla nostra umanità più autentica. La nostra stessa essenza sembra minacciata dalla paura di non essere mai abbastanza. Ma cosa succede se invece ci fermiamo un attimo? Se smettiamo di inseguire un ideale che non ci appartiene, e iniziamo a guardarci con occhi nuovi? Succede che scopriamo qualcosa di profondamente liberatorio: la nostra imperfezione è viva. È ciò che ci rende unici, veri, sorprendenti. È proprio lì, nelle nostre crepe, che si nasconde la forza di essere noi stessi. La filosofia Sempreunagioia ci invita a un atto coraggioso e radicale: abbracciare le nostre fragilità come porte aperte alla gioia. Non si tratta di rassegnazione, ma di una consapevolezza che trasforma il nostro modo di vivere e di guardare al mondo. Quando smettiamo di voler essere perfetti, liberiamo un’energia immensa, un'energia che proviene da un amore incondizionato per noi stessi, proprio così come siamo, con tutti i nostri difetti ed imperfezioni. Essere imperfetti non significa accontentarsi di vivere in modo superficiale, ma vuol dire permettersi di essere autentici, di accettare che alcuni giorni non andranno come vorremmo, che certe volte non avremo tutte le risposte e che altre volte ci troveremo ad affrontare sfide che sembrano più grandi di noi. Significa abbracciare il fatto che siamo esseri umani, con alti e bassi, con sogni e paure, e che non c’è niente di sbagliato in questo. Al contrario, è proprio qui che nasce la nostra forza. Immagina un albero che cresce storto perché ha dovuto adattarsi ad una montagna rocciosa. Non è meno bello di un albero che cresce dritto, ma è unico nel suo genere. Ha una storia da raccontare, una bellezza che solo lui può vantare. Così siamo noi, ognuno con la sua storia, con le sue esperienze, con i suoi momenti di difficoltà e di trionfo. E queste crepe, queste "imperfezioni", sono le tracce lasciate dal nostro cammino, sono il segno che siamo vivi. La società spesso ci insegna che solo la perfezione è degna di essere celebrata, ma è proprio la nostra imperfezione che rende ogni passo del nostro viaggio così significativo. La perfezione anestetizza, mentre l’imperfezione ci rende vivi, ci connette al cuore pulsante della vita. Non c’è gioia più grande di quella che nasce dal sentirsi liberi di essere sé stessi, senza dover aderire ad un ideale di perfezione che, alla fine, non ci appartiene. Per molti di noi, ammettere la propria imperfezione può sembrare una sconfitta. Ma in realtà è un atto di amore profondo, un gesto di accettazione che ci permette di vivere con maggiore serenità. Quando ci liberiamo dalla paura del giudizio, iniziamo a vedere il mondo in modo diverso. Le nostre paure si fanno più leggere, e la gioia si insinua nelle pieghe della nostra vita quotidiana. Non più lontana, ma qui, in questo istante, tra le nostre mani imperfette. Come un vaso riparato con l’oro, le nostre crepe diventano il punto più prezioso del nostro cammino. Quando guardiamo il nostro cuore senza giudizio, possiamo scoprire che ogni “imperfezione” è in realtà un'opportunità di crescita, un'occasione per espandere il nostro amore verso noi stessi e gli altri. La gioia di essere imperfetti è una gioia che non ha bisogno di nulla per essere completa. Non ha bisogno di un corpo perfetto, di un successo assicurato, o di una vita senza problemi. Questa gioia nasce dal nostro saper vivere pienamente ogni momento, dalla nostra capacità di accettare ciò che siamo, senza vergogna, senza timore. È una gioia che ci fa sentire parte di un tutto, che ci unisce all’umanità in modo profondo e sincero. E allora oggi, proprio oggi, facciamo un piccolo gesto rivoluzionario: sorridiamo alle nostre imperfezioni. Con amore. Con gratitudine. Con leggerezza. Liberiamoci dalla paura di non essere abbastanza e rendiamoci conto che siamo già perfetti nella nostra imperfezione. Perché in fondo, la gioia non nasce dal diventare qualcun altro, ma dal tornare, ogni giorno, ad essere pienamente noi. Non c’è niente di più potente che amare se stessi per quello che si è, con tutti i difetti e le meraviglie che ci appartengono. Abbracciamo la nostra imperfezione e lasciamola risplendere: sarà la nostra luce più bella.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 1 maggio 2025
We live in a world that constantly pushes us to improve, to smooth out our rough edges, to cover every flaw. We are taught that only what is perfect is worthy of being shown, shared, and loved. From a young age, we learn to compare ourselves to unattainable ideals: perfect bodies, flawless careers, unblemished relationships. And so, step by step, we risk turning into cold, polished statues, far removed from our most authentic humanity. Our very essence seems threatened by the fear of never being enough. But what happens if we pause for a moment? If we stop chasing an ideal that doesn't belong to us, and start looking at ourselves with new eyes? We discover something deeply liberating: our imperfection is alive. It is what makes us unique, real, and surprising. It is right there, in our cracks, that the strength to be ourselves lies.The Sempreunagioia philosophy invites us to a courageous and radical act: to embrace our fragility as an open door to joy. It's not about resignation, but about awareness that transforms our way of living and seeing the world. When we stop trying to be perfect, we release an immense energy, an energy that comes from unconditional love for ourselves, just as we are, with all our flaws and imperfections.Being imperfect does not mean settling for a superficial life, but it means allowing ourselves to be authentic, to accept that some days will not go the way we want, that sometimes we won’t have all the answers, and that other times we will face challenges that seem bigger than us. It means embracing the fact that we are human beings, with ups and downs, with dreams and fears, and that there is nothing wrong with this. On the contrary, this is where our strength lies. Imagine a tree that grows crooked because it had to adapt to a rocky mountain. It is no less beautiful than a straight tree, but it is unique in its own way. It has a story to tell, a beauty that only it can boast. We are like that, each with our own story, with our experiences, with our moments of difficulty and triumph. And these cracks, these “imperfections,” are the traces left by our journey, the sign that we are alive. Society often teaches us that only perfection deserves to be celebrated, but it is our imperfection that makes every step of our journey so meaningful. Perfection anesthetizes, while imperfection makes us alive, connects us to the beating heart of life. There is no greater joy than the one that comes from feeling free to be ourselves, without having to adhere to an ideal of perfection that, in the end, does not belong to us. For many of us, admitting our imperfection may seem like a defeat. But in reality, it is an act of profound love, a gesture of acceptance that allows us to live with greater serenity. When we free ourselves from the fear of judgment, we begin to see the world differently. Our fears become lighter, and joy sneaks into the folds of our daily lives. No longer distant, but here, in this moment, between our imperfect hands. Like a vase repaired with gold, our cracks become the most precious part of our journey. When we look at our hearts without judgment, we can discover that every “imperfection” is actually an opportunity for growth, a chance to expand our love for ourselves and others. The joy of being imperfect is a joy that needs nothing to be complete. It doesn’t need a perfect body, a guaranteed success, or a life without problems. This joy comes from our ability to live fully in each moment, from our capacity to accept who we are without shame, without fear. It is a joy that makes us feel part of a greater whole, that connects us deeply and sincerely to humanity. So today, right now, let’s make a small revolutionary gesture: let’s smile at our imperfections. With love. With gratitude. With lightness. Let’s free ourselves from the fear of not being enough and realize that we are already perfect in our imperfection. Because in the end, joy does not come from becoming someone else, but from returning, every day, to being fully ourselves. There is nothing more powerful than loving ourselves for who we are, with all the flaws and wonders that belong to us. Let’s embrace our imperfection and let it shine: it will be our most beautiful light.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 1 maggio 2025
Nous vivons dans un monde qui nous pousse constamment à nous améliorer, à lisser nos bords rugueux, à cacher chaque défaut. On nous apprend que seule la perfection mérite d'être montrée, partagée, aimée. Dès notre plus jeune âge, nous apprenons à nous comparer à des idéaux inaccessibles : corps parfaits, carrières sans faille, relations immaculées. Et ainsi, petit à petit, nous risquons de devenir des statues froides et polies, loin de notre humanité la plus authentique. Notre essence même semble menacée par la peur de ne jamais être assez. Mais que se passe-t-il si nous faisons une pause ? Si nous cessons de poursuivre un idéal qui ne nous appartient pas et que nous commençons à nous regarder avec de nouveaux yeux ? Nous découvrons quelque chose de profondément libérateur : notre imperfection est vivante. C'est ce qui nous rend uniques, réels, surprenants. C'est justement là, dans nos fissures, que réside la force d'être nous-mêmes. La philosophie Sempreunagioia nous invite à un acte courageux et radical : embrasser notre fragilité comme une porte ouverte à la joie. Il ne s'agit pas de résignation, mais de conscience qui transforme notre façon de vivre et de voir le monde. Lorsque nous cessons d'essayer d'être parfaits, nous libérons une énergie immense, une énergie qui vient de l'amour inconditionnel pour nous-mêmes, tels que nous sommes, avec tous nos défauts et imperfections. Être imparfait ne signifie pas se contenter d'une vie superficielle, mais cela signifie se permettre d'être authentique, d'accepter que certains jours ne se passent pas comme nous le souhaitons, que parfois nous n’aurons pas toutes les réponses, et que d'autres fois nous ferons face à des défis qui nous sembleront plus grands que nous. Cela signifie accepter que nous sommes des êtres humains, avec des hauts et des bas, des rêves et des peurs, et qu'il n'y a rien de mal à cela. Au contraire, c'est là que réside notre force. Imaginez un arbre qui pousse de travers parce qu'il a dû s'adapter à une montagne rocheuse. Il n'est pas moins beau qu'un arbre droit, mais il est unique en son genre. Il a une histoire à raconter, une beauté qu'il est le seul à revendiquer. Nous sommes comme ça, chacun avec sa propre histoire, ses expériences, ses moments de difficulté et de triomphe. Et ces fissures, ces « imperfections », sont les traces laissées par notre chemin, le signe que nous sommes vivants.La société nous apprend souvent que seule la perfection mérite d'être célébrée, mais c'est notre imperfection qui rend chaque étape de notre parcours si significative. La perfection anesthésie, tandis que l’imperfection nous rend vivants, nous relie au cœur battant de la vie. Il n'y a pas de joie plus grande que celle qui naît du fait de se sentir libre d’être soi-même, sans avoir à adhérer à un idéal de perfection qui, au fond, ne nous appartient pas. Pour beaucoup d'entre nous, admettre notre imperfection peut sembler une défaite. Mais en réalité, c'est un acte d'amour profond, un geste d'acceptation qui nous permet de vivre avec plus de sérénité. Lorsque nous nous libérons de la peur du jugement, nous commençons à voir le monde différemment. Nos peurs deviennent plus légères, et la joie s'insinue dans les replis de notre quotidien. Plus distante, mais ici, en ce moment, entre nos mains imparfaites. Comme un vase réparé avec de l'or, nos fissures deviennent la partie la plus précieuse de notre chemin. Lorsque nous regardons notre cœur sans jugement, nous pouvons découvrir que chaque « imperfection » est en réalité une opportunité de croissance, une occasion d'étendre notre amour pour nous-mêmes et pour les autres. La joie d’être imparfait est une joie qui n’a besoin de rien pour être complète. Elle n’a pas besoin d’un corps parfait, d’un succès garanti ou d’une vie sans problèmes. Cette joie naît de notre capacité à vivre pleinement chaque instant, de notre capacité à accepter ce que nous sommes sans honte, sans peur. C’est une joie qui nous fait nous sentir connectés à un tout, qui nous relie profondément et sincèrement à l’humanité. Alors aujourd'hui, juste aujourd'hui, faisons un petit geste révolutionnaire : sourions à nos imperfections. Avec amour. Avec gratitude. Avec légèreté. Libérons-nous de la peur de ne pas être suffisants et réalisons que nous sommes déjà parfaits dans notre imperfection. Parce qu’au fond, la joie ne vient pas de devenir quelqu’un d’autre, mais de revenir, chaque jour, à être pleinement nous-mêmes. Il n'y a rien de plus puissant que s’aimer soi-même pour ce que l’on est, avec tous nos défauts et toutes nos merveilles. Embrassons notre imperfection et laissons-la briller: ce sera notre lumière la plus belle.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 1 maggio 2025
Vivimos en un mundo que nos empuja constantemente a mejorar, a suavizar nuestras asperezas, a ocultar cada defecto. Nos enseñan que solo lo perfecto merece ser mostrado, compartido y amado. Desde pequeños, aprendemos a compararnos con ideales inalcanzables: cuerpos perfectos, carreras impecables, relaciones sin manchas. Así, paso a paso, corremos el riesgo de convertirnos en estatuas frías y pulidas, lejos de nuestra humanidad más auténtica. Nuestra esencia misma parece amenazada por el miedo de nunca ser suficientes. Pero, ¿qué sucede si nos detenemos un momento? Si dejamos de perseguir un ideal que no nos pertenece y comenzamos a mirarnos con ojos nuevos. Descubrimos algo profundamente liberador: nuestra imperfección está viva. Es lo que nos hace únicos, reales, sorprendentes. Es justo allí, en nuestras grietas, donde se encuentra la fuerza de ser nosotros mismos. La filosofía Sempreunagioia nos invita a un acto valiente y radical: abrazar nuestra fragilidad como una puerta abierta a la alegría. No se trata de resignación, sino de conciencia que transforma nuestra forma de vivir y ver el mundo. Cuando dejamos de intentar ser perfectos, liberamos una energía inmensa, una energía que proviene del amor incondicional hacia nosotros mismos, tal y como somos, con todos nuestros defectos e imperfecciones. Ser imperfectos no significa conformarse con una vida superficial, sino permitirnos ser auténticos, aceptar que algunos días no serán como quisiéramos, que a veces no tendremos todas las respuestas, y que otras veces enfrentaremos desafíos que parecerán más grandes que nosotros. Significa aceptar que somos seres humanos, con altibajos, con sueños y miedos, y que no hay nada de malo en ello. Por el contrario, es precisamente aquí donde radica nuestra fuerza. Imagina un árbol que crece torcido porque tuvo que Imagina un árbol que crece torcido porque tuvo que adaptarse a una montaña rocosa. No es menos hermoso que un árbol recto, pero es único en su tipo. Tiene una historia que contar, una belleza que solo él puede presumir. Nosotros somos así, cada uno con su propia historia, con sus experiencias, con sus momentos de dificultad y triunfo. Y estas grietas, estas "imperfecciones", son las huellas dejadas por nuestro camino, la señal de que estamos vivos. La sociedad a menudo nos enseña que solo la perfección merece ser celebrada, pero es nuestra imperfección lo que hace que cada paso de nuestro recorrido sea tan significativo. La perfección adormece, mientras que la imperfección nos hace estar vivos, nos conecta con el latido del corazón de la vida. No hay mayor alegría que la que proviene de sentirnos libres para ser nosotros mismos, sin tener que adherirnos a un ideal de perfección que, al final, no nos pertenece. Para muchos de nosotros, admitir nuestra imperfección puede parecer una derrota. Pero en realidad, es un acto de amor profundo, un gesto de aceptación que nos permite vivir con mayor serenidad. Cuando nos liberamos del miedo al juicio, comenzamos a ver el mundo de manera diferente. Nuestros miedos se vuelven más livianos y la alegría se desliza en los pliegues de nuestra vida diaria. Ya no distante, sino aquí, en este momento, entre nuestras manos imperfectas. Como un jarrón reparado con oro, nuestras grietas se convierten en la parte más preciosa de nuestro camino. Cuando miramos nuestro corazón sin juicio, podemos descubrir que cada "imperfección" es en realidad una oportunidad de crecimiento, una oportunidad de expandir nuestro amor hacia nosotros mismos y hacia los demás. La alegría de ser imperfectos es una alegría que no necesita nada para ser completa. No necesita un cuerpo perfecto, un éxito garantizado o una vida sin problemas. Esta alegría proviene de nuestra capacidad para vivir plenamente en cada momento, de nuestra capacidad para aceptar quienes somos sin vergüenza, sin miedo. Es una alegría que nos hace sentir parte de un todo, que nos conecta profundamente y sinceramente con la humanidad. Así que hoy, justo ahora, hagamos un pequeño gesto revolucionario: sonriamos a nuestras imperfecciones. Con amor. Con gratitud. Con ligereza. Liberémonos del miedo a no ser suficientes y demos cuenta de que ya somos perfectos en nuestra imperfección. Porque al final, la alegría no viene de convertirnos en otra persona, sino de volver, todos los días, a ser completamente nosotros mismos. No hay nada más poderoso que amarnos a nosotros mismos por lo que somos, con todos nuestros defectos y maravillas. Abracemos nuestra imperfección y dejemos que brille: será nuestra luz más hermosa.
Autore: Sergio Cosentino & Cinzia Scarpa 1 maggio 2025
私たちは常に自分を改善し、粗い部分を滑らかにし、欠点を隠すように促されて生きています。完璧なものだけが示され、共有され、愛されるべきだと教えられます。幼い頃から、私たちは手の届かない理想と自分を比較することを学びます。完璧な体、欠点のないキャリア、汚れのない関係。そうして、少しずつ、私たちは冷たく、磨かれた彫像になり、本当の人間性から遠ざかる危険を冒します。自分自身が「十分でないかもしれない」という恐れに私たちの本質が脅かされているように感じます。でも、もしちょっと立ち止まってみたらどうでしょう?自分に合わない理想を追いかけるのをやめ、違った目で自分を見つめてみたら?私たちは、深く解放的な何かを発見します。それは、私たちの不完全さが生きているということです。それは、私たちをユニークで現実的で驚くべき存在にするものです。その不完全さこそが、私たちが自分自身である力の源です. Sempreunagioiaの哲学は、私たちに勇気と根本的な行動を促します。それは、私たちの脆さを喜びへの開かれた扉として受け入れることです。これは諦めではなく、私たちの生き方や世界の見方を変える意識のことです。完璧であろうとするのをやめると、私たちは途方もないエネルギーを解放します。それは、私たち自身に対する無条件の愛から生まれるエネルギーです。それは、欠点や不完全さを抱えた私たち自身をそのままで愛する力です。不完全であることは、表面的な人生に甘んじることを意味しません。それは、私たちが本物であることを許し、時には期待通りにいかない日々があることを受け入れ、時にはすべての答えを持っていないことを受け入れ、時には私たちよりも大きな挑戦に直面することを意味します。それは、私たちが人間であり、起伏、夢、恐れを持っていることを受け入れることです。それには何の問題もありません。むしろ、それこそが私たちの力なのです。例えば、岩だらけの山に適応しなければならなかったために曲がって成長した木を想像してみてください。その木はまっすぐな木よりも美しくないわけではありませんが、独自の美しさがあります。そこには、他の木にはない物語があり、他の誰もが持っていない美しさがあります。私たちもそのようなものです。それぞれに自分の物語、経験、困難と勝利の瞬間があります。そして、そのひび割れ、「不完全さ」が私たちの道を示す跡であり、私たちが生きている証なのです。社会はしばしば、完璧であることだけが祝われるべきだと教えますが、実際に私たちの不完全さこそが私たちの旅の各ステップを意味深いものにします。完璧さは私たちを麻痺させ、不完全さこそが私たちを生かし、生命の鼓動と繋がるのです。自分自身を完璧な理想に合わせることから解放される喜びほど大きなものはありません。私たちの多くにとって、私たちの不完全さを認めることは敗北のように感じるかもしれません。しかし、実際にはそれは深い愛の行為であり、私たちにもっと穏やかに生きるための受け入れのジェスチャーです。私たちは判断の恐れから解放されると、世界を違った目で見るようになります。私たちの恐れは軽くなり、喜びは私たちの日常生活に入り込みます。それはもはや遠くにあるものではなく、今この瞬間、私たちの不完全な手のひらの中にあります。金で修復された花瓶のように、私たちのひび割れは私たちの旅の中で最も貴重な部分になります。 私たちが判断せずに心を見つめるとき、私たちはそれぞれの「不完全さ」が実際には成長の機会であり、自分自身や他者への愛を広げるチャンスであることに気づきます。不完全であることの喜びは、何も必要としない喜びです。それは完璧な体、保証された成功、問題のない生活を必要としません。この喜びは、毎瞬間を完全に生きる能力、恥や恐れなしに自分を受け入れる能力から生まれます。それは私たちを全体の一部として感じさせ、人類との深い、誠実な繋がりを生み出します。だから、今日、今、この瞬間に、小さな革命的な行動をしてみましょう。私たちの不完全さに微笑んでみましょう。愛を込めて。感謝を込めて。軽やかに。私たちは「十分でない」恐れから解放され、私たちがすでに不完全さの中で完璧であることを認識しましょう。結局のところ、喜びは他の誰かになることから来るのではなく、毎日、完全に自分自身であることから来るのです。私たちが何者であるかを、欠点や素晴らしさを抱えて愛することほど強力なことはありません。私たちの不完全さを受け入れて、それを輝かせましょう。それが私たちの最も美しい光になるでしょう。
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